lafretteecoleprivee
Spectacle de théâtre
Le 22/04/2014
- Commentaires textes : Écrire
Le 100ème jour d'école
Le 19/04/2014
Nous avons créé le tableau des 100 mots doux sur lequel chacun a pu remercier les uns, féliciter les autres...
Nous avons donc compté nos collections et même compté en sport! En effet, les élèves ont découvert le jeu du Mölky, une pétanque scandinave avec du calcul mental... Ils faisaient équipe tous ensemble pour faire 100 points "pile" et ils ont réussi!
Bravo à chacun pour votre investissement! et merci aux parents pour votre aide !
- Commentaires textes : Écrire
Baptême de l'école
Le 12/04/2014
De nombreuses personnalités nous ont fait l'honneur de leur présence |
Sous un soleil rayonnant, plus de 100 personnes se sont réunies: parents d'élèves, élèves, institutrices, anciens directeurs/trices et institutrices, anciens élèves de 10 à 70 ans et amis de l'école. Plusieurs élus nous ont honoré de leur présence: M. le député Barbier, M. le Président de la Communauté de communes Neuder et Mme le Maire Chevallier ont prononcé de beaux discours et souhaité longue vie à l'école. Le Père Julien a baptisé l'école, et chanté avec les enfants. Les élus ont alors dévoilé l'affiche avec le nouveau nom sur la façade de l'école. Autour d'un verre et d'un buffet, des souvenirs de l'école ont été échangés. Les anciens élèves ont découvert les locaux actuels, et les rénovations et décorations qui ont été entrepris récemment. Une exposition de photos d'époque de l'école, depuis les années 1930 jusqu'à nos jours, a fait remonter de vieux souvenirs pour les uns, et montré la longue histoire de l'école à d'autres. Nous remercions très chaleureusement toutes les personnes qui ont contribué à la réussite de cette journée.
- Commentaires textes : Écrire
Les débuts de l'école, racontés par un ancien élève, Joseph Charpenay
Le 12/04/2014
Photo de classe d'environ 1930 |
A l’origine, l’école privée de la Frette s’étend sur deux sites : l’école des filles, chemin du Pavé, et l’école des garçons, chemin de l’Eglise. Ces biens sont gérés par la paroisse en la personne de l’abbé Augustin Brochier (originaire du hameau du Liers à Châbons, oncle de Madame Paulette Naëf) et par deux membres bienfaiteurs, Madame Claude de la Villardière, propriétaire du château, et la Maison Coffy-Bisch, propriétaire de l’usine de tissage (Madame Berthe Coffy ne ménageait pas la générosité pour les arbres de Noël).
L’école des filles, chemin du Pavé à la Frette (cf bulletin municipal de 1991)
Les bâtiments qui abritent aujourd’hui l’école privée mixte de la Frette faisaient partie de la propriété de Jean-Marie Pollard (trésorier de la fabrique). La famille Pollard en fit don aux religieuses de la Providence de Corenc pour qu’elles y maintiennent une école. Jean-Marie Pollard est inhumé au cimetière de la Frette, il est décédé en 1896 âgé de 80 ans, sa tombe jouxte celle de M. Gaston Rey au pied du mur, côté ouest.
Ces biens immobiliers se composent :
1. De l’immeuble des classes établies au rez-de-chaussée. A l’étage se trouvait autrefois le dortoir du pensionnat des filles.
2. De la maison des religieuses de Corenc (bâtisse détruite pour faire place à la classe des primaires en 2000) qui comptait les pièces à vivre ainsi qu’une chapelle et un cabinet de soins. La communauté de Corenc nommait des religieuses enseignantes (provenant parfois de contrées lointaines : Madagascar, Santiago du Chili…), des religieuses infirmières, pour apporter aide et soutien aux malades et aux mourants. Sœur Marie du Sacré Cœur dite sœur garde-malades, infirmière militaire pendant la Grande Guerre 1914-1918 est encore dans beaucoup de mémoires.
3. De la maison actuelle Pirès (ancienne ferme Prudhomme composée d’une grande et de la maison d’habitation). Selon les dires de Mme Léontine Proby, tant de Joseph Charpenay, cette ferme fournissait au pensionnat de jeunes filles lait, beurre, fromage, viande…
Ces bâtis étaient cernés de prés, cours, stade (actuel plateau sportif en bail à la commune) et vigne.
En 1953, le 1er octobre, lors de la fermeture définitive de l’école de garçons (sise chemin de l’Eglise), les enfants sont regroupés à l’école de filles qui devient dès lors mixte. L’école comptera désormais trois classes.
Moi-même, Joseph Charpenay, ai fait ma première rentrée en maternelle en 1947, la maîtresse est alors Mademoiselle Renée Chirouze (future épouse Damiron). En 1948/1949, Josette Deloras-Billot (sœur de Robert et de Monique) lui succède. Plus tard, la classe est dévolue à Mademoiselle Georgette Jallud d’Apprieu (épouse de Robert Levet Trafit, maman de Roland Levet Trafit). La grande classe est conduite par Mademoiselle Marthe Pinet du Grand-Lemps, cousine de la famille Joseph Vivier, route de Grenoble. Au décès de sa mère, Mademoiselle Pinet rentre comme religieuse dans la communauté de Corenc sous le nom de Sœur Marie de l’Assomption. Elle partira enseigner à Madagascar où elle est supérieure d’une école et crée la revue « L’écho de Madagascar ». Par son départ elle cède la direction de l’école de la Frette à Mademoiselle Anne-Marie Josserand. Rentrée de Madagascar après de très nombreuses années d’enseignement, elle retrouvera la communauté de Corenc. Décédée en 2010 ou 2011, elle repose au Puy en Velay.
En 1953, Mademoiselle Rosemonde Moulin, épouse de Monsieur François Marmonier, est recrutée par le jeune abbé Henri Raffy (récemment nommé curé de la paroisse de la Frette), et affectée à la classe des petits. Georgette Jallud assurera la classe des moyens et Mademoiselle Anne-Marie Josserand, en tant que directrice, la classe des grands (cours moyens 1 et 2, cours supérieur, cours de fin d’études).
Mademoiselle Josserand, unanimement respectée, aimée pour sa conscience professionnelle, ses qualités relationnelles avec les élèves et leurs familles, a su inculquer le respect des autres, de soi-même, des institutions, et l’amour du travail bien fait. Quand elle quittera La Frette, elle ne laissera que des regrets. Je lui dois beaucoup. Bravo Mademoiselle Josserand, vous nous avez enseigné avec rigueur toutes les disciplines incluses dans les programmes de l’époque (français, mathématiques, histoire, géographie, sciences, chant, étudation physique, dessin et même histoire religieuse…). En la famille Auguste Chevalier vous retrouverez votre ancienne élève de Pont Evêque, Lulu Chevalier, dans son rôle de mère de famille. Dans leur cœur vous restez présente à jamais.
Durant son passage à La Frette, l’abbé Raffy consacrera beaucoup de son temps, avec dévouement, au fonctionnement de l’école. Après un très long sacerdoce, il réside actuellement à Grenoble.
Lorsque Mademoiselle Jallud épouse Robert Levet-Trafit, cultivateur, elle quitte l’enseignement pour l’exploitation agricole. Mademoiselle Gisèle Jacquier de Longechenal (épouse Piottin) lui succède.
Moi, Joseph, ai vécu ces moments d’instauration de la mixité. La mixité régnait en classe, mais les aires de jeux étaient séparées : une cours pour les garçons plus turbulents dans leurs jeux (ballon, boules…), une cours pour les filles, plus attirées par la marelle, le croquet…
L’école de garçons, chemin de l’Eglise de la Frette
(cf. bulletin municipal de 1991 et page 26 dans le numéro du 23/07/2012)
Cette grosse bâtisse, aujourd’hui propriété de la commune de La Frette depuis 1995, fut l’ancienne école libre de garçons et tout un pan de l’histoire des Frettois s’y rattache en tant que lieu d’enseignement et en tant que creuset culturel durant des décennies.
En 1876, le curé Brun de Torchefelon, bienfaiteur de l’église de La Frette, meurt. Par testament, il lègue sa maison natale aux Frères maristes de Saint Genis Laval pour y établir une école. Les instituteurs : Mollard, Fuzier, Déchenaud, maître Marcel Jourdan (décédé en janvier 2013), Louis Chevalier (grand-père de Roland Jourdan) s’y succèdent jusqu’en 1953 où l’école ferme.
Monsieur Chevalier, atteint par la maladie, a d’abord vu l’interim assuré par Marie-Louise Rousset (elle repose au cimetière de La Frette, mur nord entre les sépultures de La Villardière et Fréchet) avant la fermeture totale.
Cette belle propriété devenue communale verra une partie de son terrain (cour, jardin, vigne, pré) amputée par le percement de la rue des Ecoles, reliant le chemin de l’Eglise à la route de Lyon (RN 85) et permettant l’accès à la cantine scolaire.
Le préau qui abritait les jeux des enfants, devient atelier des employés communaux. Le puits, la fosse de compostage disparaissent. Les tonnelles de vigne (cépage Bacot) vendangées en leur temps par les élèves de Louis Chevalier, avec pour chefs Albert Bouzon et Emile Charpenay, cèdent la place aux jeux de boules, et le pré attenant voit se succéder les kermesses de juillet.
Le bâtiment abritant la salle de classe, le théâtre et le logement de l’instituteur, se verra après le départ de ce dernier transformé en lieu de patronage, où de multiples activités se dérouleront (cf. bulletin municipal du 23/07/2012 p. 26) jusqu’aux alentours de 1990.
- Commentaires textes : Écrire
Journée portes ouvertes samedi 12 avril 2014
Le 25/01/2014
Notre petite structure de deux classes attire des familles désireuses de voir leur enfant apprendre dans un cadre familial.
- Effectifs réduits : parcours individualisés, prise en compte des spécificités de chaque enfant (qu’il ait des difficultés ou qu’il soit en avance pour son âge). L’apprentissage de la lecture en CP se fait en tout petit groupe de 3 à 6 enfants. Les classes multi-niveaux favorisent l’autonomie et l’entraide des enfants.
- Accueil des enfants sans distinction de religion, et dès 2 ans en « très petite section » de maternelle (à condition que l’enfant soit propre).
- Rythmes scolaires : maintien de la semaine de quatre jours (classe les lundi, mardi, jeudi, vendredi, 8h30-11h30 et 13h30-16h30).
- Garderie dès 7h30 et jusqu’à 18h, cantine.
- Tarifs : cotisation environ 36€ (selon quotient familial), garderie 1,50€ le matin, 2€ le soir, cantine 4,30€ (maternelles) ou 4,50€ (primaires).
Ecole privée de La Frette, 48 rue du Pavé, 38260 La Frette
Directrice : Amande Cerqua Téléphone : 04 74 54 67 87
Mail : ecole.privee.lafrette@wanadoo.fr
- Commentaires textes : Écrire